" AGRESSEUR A LA SOUDE. Condamné à quatre ans de prison ferme.Le tribunal correctionnel de Paris a condamné, hier, à quatre ans de prison ferme un homme de 28 ans qui avait aspergé de produit corrosif sept femmes dans le métro parisien netre les mois de février et avril. Le tribunal l'a condamné à cinq ans, dont un avec sursis, trois ans de mise à l'épreuve et obligation de soins.
Lors de l'audience, Damien Dureuil, incarcéré depuis la mi-avril, n'a pu expliquer son geste, parlant simplement de pulsions. Cet ingénieur avait aspergé au moins sept victimes d'un mélange à base de soude et d'un produit décapant. " ("La Montagne" du 21 novembre 2007)
Misogyne de base, il voulait ensuite les dessouder ? On aurait pu penser que la justice serait plus caustique, dans ce cas... de figure.
Dans l'ignorance de ses motifs, on peut imaginer que c'était une façon de manifester contre l'utilisation du vitriol, méthode cruelle de défiguration des macs de jadis pour punir les filles à la redresse. Le vitriol est en effet un acide.
Ce serait ce qu'on appelle de l'esprit de contradiction !
1 commentaire:
Dureuil ... cela sent la vengeance, il a aussi la dent dure contrairement au Tribunal. Il ne manque plus que l'homme soit dur d'oreille et ne se fasse pas soigner pour ses prétendues pulsions.
Sur la forme, la méthode est assez basique pour faire perdre la face à ses victimes.
Au fait, quand notre ingénieur a été arrêté, lui a-t-on demandé ses papiers pH ?
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