" HOT SEX... Non, torture.
Un Congolais de 30 ans, soupçonné d'avoir écrasé du piment sur le sexe de sa compagne pour "chasser les mauvais esprits" et stimuler les rapports sexuels, a été condamné à huit mois de prison ferme. Il s'agit d'un acte de torture, lui a rappelé le tribunal correctionnel du Havre. " ("La Montagne" du 14 septembre 2007)
Corne de taureau, sucette de Marseille ou Banda Mam'Jacques ?
Le rouge et le noir, version primitive. Sang et épice, mélanine et sombre sauvagerie.
Congolais, condiment, condamné... Conclusion ?
vendredi 14 septembre 2007
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2 commentaires:
Après l'excision, le piment ! Ou comment garantir d'avoir sa femme apaisée !
Ce Con_golais mériterait d'être nommé Docteur "doloris causa" de la Faculté de Cayenne et 1er Citoyen d'Horreur de la ville d'Espelette
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