" BAGARRE À LA BASILIQUE.Cinq prêtres et deux policiers ont été blessés, hier, dans une bagarre générale qui a éclaté dans la basilique de la Nativité, à Bethléem, entre prêtres arméniens et grecs orthodoxes à la suite d'un différent "territorial" sur le nettoyage des lieux. Les prêtres grecs othodoxes avaient installé des échelles pour nettoyer les murs et les plafonds du lieu saint qui relèvent de leur responsabilité après Noël, empiétant ainsi sur la partie de l'église contrôlée par les arméniens, provoquant leur courroux. Une cinquantaine de religieux en robe noire se sont affrontés en hurlant à coups de balai et de barres de fer dans un chaos indescriptible avant que n'intervienne la police palestinienne pour séparer les belligérants. " ("La Montagne" du 28 décembre 2007)
Pet sous la terre aux hommes de mauvaise volonté. Le message oecuménique est bien crypté (du grec "crypte", assez franco). Proximité du mur des lamentations ? Sainte colère ? À quand l'étole ou le surplis d'explosifs ? On lit dans la même édition du quotidien : "OLMERT/ABBAS. Désaccords en sourdine." C'en est surprenant : pourquoi en sourdine ? Il y en a un qui doit se retourner dans sa tombe, où il n'est plus depuis trois jours après sa mort !
Mais pendant que les curés se fendaient la calotte, la police palestinienne a dû se fendre la pipe, car c'est elle qui a finalement nettoyé les lieux après avoir tiré l'échelle !
Comme disait mon maître Desproges (Tu es Pierre...) : « Bonjour ma colère, salut ma hargne et mon courroux , coucou.»
2 commentaires:
Pour la même scène au Japon, le titre eut été: Combat d'Aïkido entre Moines.
Vraiment, ils sont bêtes les M .... !
Réponse de Moïse, avant la traversée de la Mer Morte, à la question de Don Camillo: "les pieds sont faits pour saigner, Baigneur ...."
Les guerres de religion sont aussi des guerres de territoire, il ne faut pas l'oublier : "Pas terre nos terres", "Jésuite j'y reste", "ce qui est à moine est pas à toi"...sont autant de prières de ne pas déranger.
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