lundi 27 avril 2009

PORTÉ À TEINTE

" DÉCOLORÉ. Armé.
Un habitant d'Uckange (Moselle) a été condamné à deux ans de prison ferme, pour avoir exigé d'un coiffeur une décoloration immédiate de sa chevelure sous la menace d'un pistolet. " ("La Montagne" du 23 avril 2009) (illustration : après décoloration, il est épique avec sa coiffure en pétard, non ?) De très mauvais poil, le blaireau, mais il ne manque pas de toupet ! À sa décharge, pour une décoloration, il s'agissait certainement d'une balle à blanc. Cela n'exclut pas un peu de poudre mais ne doit pas conduire à péter les plombs et mettre la coiffure en bataille. Deux ans bouclé, nom d'un pétard, ça en défriserait plus d'un ! Lourd de peigne. Ah ! Mad Moselle, Uckange du démon ! Un peu braque, quand même, non ?

3 commentaires:

Patriste a dit…

Un coiffeur rétif, un coiffé hatif : lequel des deux s'est fait des cheveux blancs en premier ?

Corps Noir a dit…

"Un tempérament colorique":
Vert de rage, un blanc bec aux idées noires a vu rouge quand un bleu de coiffeur l'a dévisagé en riant jaune.
Résultat, il écope d'une peine plus forte qu'une verte réprimande. Depuis, il ne décolore pas !

Corps Noir a dit…

"Sous la con teinte":
Le coiffeur s'en tire bien (un peu par les cheveux !) ! Par les temps qui courent, il aurait pu se retrouver séquestré jusqu'à ce que la chevelure ait naturellement retrouvé sa couleur d'origine ....