vendredi 11 avril 2008

BATU À PLATES COUTURES

" Les masseuses indonésiennes doivent cadenasser leurs pantalons au travail

JAKARTA, Indonésie - Les studios de massage d'une ville indonésienne demandent aux masseuses de cadenasser leurs jupes et pantalons pour démontrer qu'aucune prostitution ne s'y déroule. La ministre de la condition féminine du pays conteste toutefois cette demande, même si en Indonésie les studios de massage cachent fréquemment des maisons closes. Meutia Swasono a expliqué au quotidien Jakarta Post, jeudi, que l'utilisation de cadenas n'est pas la bonne manière de lutter contre la prostitution, estimant qu'il s'agit d'une insulte aux femmes. Au moins un studio de massage de la station balnéaire de Batu, sur l'île de Java, exige de ses masseuses qu'elles cadenassent leurs jupes et pantalons pour clairement indiquer aux clients qu'aucune prostitution ne s'y déroule. D'autres studios lui ont emboîté le pas, quand des dirigeants locaux ont applaudi l'idée lors d'une rencontre des propriétaires de studios de la ville. Des images diffusées au cours des derniers jours, à la télévision et ailleurs, ont montré des masseuses portant un petit cadenas sur la fermeture à glissière de leurs pantalons ou de leurs jupes. "(© La Presse Canadienne, 2008 Publié le 10 avril 2008-04-10 d'après AP) (Illustration : la clé de toute cette histoire...)

Ca ressemble un peu à de l'homéopathie, cette histoire de petit cadenas contre les maisons closes, pour leur éviter de faire la java. Mais ça ne risque pas de les empêcher de faire des passes !

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Nouvel accessoire clé, en Indonésie, pour lingerie féminine : le cadenas à combinaison.

Anonyme a dit…

Il y aurait bien un autre moyen, qui couperait court à tout débat : les fermetures à guillotine !
C'est une solution, préconisée dans la région, pour protéger les ouvertures .... contre les queues de typhon.

Anonyme a dit…

"Des hauts et des bas à la clé":
Bah! Tu n'empêcheras pas, avec de simples colifichets, un esprit enflammé de faire appel à un pompier.