LECCO, Italie - Un Italien a été condamné à une peine de dix jours de prison avec sursis assortie d'une amende de 40 euros pour avoir trop longuement posé son regard sur une passagère de 55 ans dans un train.
L'homme, âgé d'une trentaine d'années, était poursuivi pour harcèlement sexuel. Le couple s'était rencontré à deux reprises en 2005 sur un train de banlieue reliant Lecco à Milan, dans le nord de la Péninsule.
La première fois, l'homme a pris place à côté de la passagère, qui s'est plainte d'être approchée de trop près. Le lendemain, il a choisi de s'asseoir en face et, aux dires de la plaignante, l'a dévisagée pendant tout le trajet.
Le couple ne s'est jamais adressé la parole.
L'avocat du condamné a annoncé vendredi qu'il ferait appel au nom de son client. " (article de Silvia Aloisi, version française Jean-Loup Fiévet pour Reuters, lu dans " fr.news.yahoo.com" du 18 avril 2008) (Illustration : le regard de mamanmaman...", www.legumania.com/regard.jpg)
Dans cette affaire, l'homme est toujours resté muet, et c'est son avocat qui a fait appel.
Gare à Lecco ! (Il la vit deux fois et les deux, dit peu). Il croyait d'ailleurs peut-être que la dame était sa mère !
Cela me confirme un principe un peu triste : il ne faut pas parler aux femmes dans le train. Il vaut mieux leur parler dans l'oreille.
1 commentaire:
"Sodome et Gomorre":
Comment a-t-elle fait, sans lui rendre la pareille, pour pouvoir affirmer qu'il n'a cessé de la dévisager durant tout le trajet ?
Craignait-elle, comme la femme de Lot, de se transformer en statue de sel en regardant en arrière ?
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