La corruption et un système judiciaire déficient s'ajoutent à une tradition ancestrale pour alimenter "la culture des armes", au Yémen. Le port d'armes y est une tradition tellement ancrée qu'un citoyen de la province tribale de Mareb, à l'est de Sanaa, a été renié par sa famille pour avoir renoncé... à sa mitrailleuse. Quelque 60 millions d'armes circulent au Yémen, soit presque trois armes par habitant. " ("La Montagne du 1° avril 2008) (Illustration : Jambyia sous la ceinture, qui justifie Pan, Pan)
Y compris les bébés et les vieillards. Ce qui, à une balle par fusil, fait les provinces tri-balles.
Sans compter avec la jambyia, à la forme si virile , que chaque homme porte... sous la ceinture.
Renié par sa famille, il a dû se tirer et s'est probablement mis à boire. Des canons qui en valent bien d'autres ! Mince, Sanaa, incorporé ? Salauds !
Déjà, dans l'Antiquité grecque, Pan était un mythe railleur, qui s'est fait doubler par la nymphe Echo (Pan, Pan !!) : vous pouvez vérifier, c'est vrai.
3 commentaires:
"Clash Nique Off familial":
Il s'en tire bien !
La sentence, pour une telle faute, aurait pu être : "Sabre la et châtie la ....
Il a intérêt à conserver son zanna dans la naphtaline pour éviter les mites railleuses !
Au Yémen, les familles renient ceux qui se donnent en spectacle en ne se reconnaissant pas comme enfants de la balle
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