Un tribunal saoudien a refusé de prononcer le divorce d'un fillette de 8 ans, mariée par son père à un adulte de 58 ans, arguant qu'elle devait d'abord atteindre la "puberté". " ("La Montagne" du 22 décembre 2008) (illustration : voilà un mariage bien père-turban !)
Cela s'appelle un attendu, en matière judiciaire. Le mariage par contre n'avait pas pu attendre, même l'âge tendre. Vous avez bien lu : mariée à un adulte de 58 ans, autant dire son grand-père ! Un âge qui n'est vraiment pas tendre pour le coup. Point positif : peut-être n'aura-t-elle pas à redouter la trique d'un senior. Dans un pays civilisé, je crois bien qu'on appelle ça la pédophilie. Ici, cela semble légal, c'est le juge qui l'a dit. Un vieux cochon. En Arabie, c'est un comble !
2 commentaires:
"Elle en bave et lui aussi !":
Elle avait 8 ans et en paraissait peut-être 58 ! Ça ne vous rappelle pas l'Ecume des jours de Boris Vian ?
"Hassi Messaoud (*)":
Visiblement, le tribunal, assis mais saoudien, n'a pas voulu se laisser déborder par une jeune pétroleuse
(*) Ville du centre de l'Algérie connue, entre autres, pour ses gisements de pétrole
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