samedi 20 décembre 2008

QUICK & DIRTY ?

" FRITE. Déboutée. Le tribunal de grande instance de Reims a débouté, hier, la cliente d'un fast-food qui avait assigné l'établissement en réparation parce qu'elle était devenue invalide après avoir, selon elle, glissé sur une frite. Le tribunal a estimé qu'elle n'avait pas apporté "la preuve de la présence de la frite ce jour-là sur le sol". " ("La Montagne" du 17 décembre 2008) (Illustration : juron bien gras entendu à la porte de Quick) Un complément d'enquête montre que, dès le lendemain, son avocat réclamait une compensation de 38 patates. Sachez (de frites) qu'on fête le premier anniversaire de la chute demain 22 décembre. Quick pense que c'est un peu rapide... d'accuser la frite, alors qu'il pleuvait assez pour mettre cette pomme à terre. La frite ne dit rien car elle a disparu juste après l'attentat. On pense généralement que tout ne baigne pas dans l'huile pour l'accusation.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

"Voyage au bout de la frite":
L'enquête a-t-elle été menée jusqu'au bout ? A-t-on procédé à une reconstitution de la scène vue de la frite ? Etant prétendument au sol, celle-ci a dû se "Reimser" l'oeil.
Ce qu'elle a vu a dû la retourner et, pour le coup, celle qui était sur elle aussi ...

Anonyme a dit…

"Purée, quelle salade !":
Comme la moutarde lui est montée au nez, l'avocat de la défense, qui en avait gros sur la patate, a failli se fritter avec son confrère (!) de l'accusation.