" Un New-yorkais profite de l'erreur d'une banque pour retirer deux millions de dollars d'un compte.
NEW YORK - Un New-yorkais est accusé d'avoir retiré deux millions de dollars (1,36 million d'euros) d'un compte qui n'était pas le sien, après qu'une banque l'a confondu avec un autre client portant le même nom.
Benjamin Lovell, 48 ans, a assuré qu'il avait essayé de dire aux responsables de la Banque du commerce, en décembre, qu'il n'avait pas de compte contenant cinq millions de dollars (3,4 millions d'euros). Selon lui, on lui a dit que c'était bien son compte et qu'il pouvait retirer l'argent.
D'après le ministère public, la banque, qui se présente elle-même comme "la Banque la plus commode d'Amérique", a confondu M. Lovell avec un autre Benjamin Lovell qui travaille dans l'immobilier.
Le Lovell le moins fortuné a profité de l'argent "miraculeusement" récupéré en achetant différentes choses, mais il en a perdu la plus grande partie en mauvais investissements, selon le ministère public. " ("fr.news.yahoo.com" d'après une dépêche AP du 20 février 2008) (Illustration : Benjamin ne s'en tirera pas)
Voilà une banque commode, mais confuse dans ses tiroirs. Et un Benjamin bien gamin ! Mais voilà maintenant notre ami miraculé acculé. Une grosse pomme de plus à New-York !
jeudi 21 février 2008
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3 commentaires:
"Obligation de moyens":
Commode ... valeurs mobilières ... client dans l'immobilier ... Il y a de la confusion dans l'air si l'on n'a pas les mêmes valeurs !
Notre New-Yorkais a dû investir activement(*), mais il faut toujours associer la Bourse et l'avis ... le bon, sinon on risque de l'avoir dans le Dow !
(*) probablement pas chez Warren Buffett, du coup il n'a même pas pu sauver les meubles !
"Absolution ? condamnation !":
Imprudent, Benjamin Lovell se fait pincer quand les taux se resserrent.
La banque va lourder ce "miraculé" encensé par les pilleurs de souches.
En France, il aurait été prié de passer à la Corbeille et d'y déposer son obole à la suite de l'enquête.
"La banque la plus commode ....":
mais pas la plus accommodante !
Que Lovell demande donc à Kerviel ....
Il crée un compte virtuel d'environ 2 milliards de $ (ça devrait être facile vu la qualité du contrôle dans cette banque). Il engage une vente à découvert (VAD)de titres (qu'il ne possède pas) qu'il pense voir baisser de 1%, à hauteur de 10% de la valeur de son compte. 200 millions de $ de vente, ça devrait être accepté !
Au terme de la VAD, avec la baisse de 1%, il rachète les titres et empoche la différence sur son compte réel, soit 2 millions de dollars !
CQFD pour vivre en P....
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