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PROTHÈSES MAMMAIRES. À la rue
Les salariés du fabriquant de prothèses mammaires Poly Implant Prothèses (PIP), en liquidation judiciaire et soupçonné de fraude, occupent leur usine à La Seyne-sur-Mer (Var) et menacent de la brûler si l'État ne leur vient pas en aide. " ("La Montagne" du 11 avril 2010)
(illustration : la gravité de la situation conduit également à faire tomber les faux seins. A-C. POUJOULAT / AFP)
Ce climat n'est pas vraiment sein. D'ailleurs, soupçonner de faux un fabricant de prothèses me parait pour le moins trivial. Sait-on au moins ce que ce silicone valait (bis) ? Des faux seins en liquidation, est-ce possible ?
Pris à la gorge, les salariés cherchent naturellement un soutien. Ah, l'État ! il a bon dos et pourtant, même ici, on ne saurait parler que de ses mamelles ! Pourquoi le tait-on ?
1 commentaire:
Une fabrique de faux-seins devrait pouvoir bénéficier d'implant de redressement.
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