lundi 10 mai 2010

PIP CHAUD

" PROTHÈSES MAMMAIRES.  À la rue

Les salariés du fabriquant de prothèses mammaires Poly Implant Prothèses (PIP), en liquidation judiciaire et soupçonné de fraude, occupent leur usine à La Seyne-sur-Mer (Var) et menacent de la brûler si l'État ne leur vient pas en aide. " ("La Montagne" du 11 avril 2010) (illustration : la gravité de la situation conduit également à faire tomber les faux seins. A-C. POUJOULAT / AFP)

Ce climat n'est pas vraiment sein. D'ailleurs, soupçonner de faux un fabricant de prothèses me parait pour le moins trivial.  Sait-on au moins ce que ce silicone valait (bis) ?  Des faux seins en liquidation, est-ce possible ?

Pris à la gorge, les salariés cherchent naturellement un soutien.  Ah, l'État ! il a bon dos et pourtant, même ici, on ne saurait parler que de ses mamelles ! Pourquoi le tait-on ?

1 commentaire:

Patriste a dit…

Une fabrique de faux-seins devrait pouvoir bénéficier d'implant de redressement.