mardi 31 mars 2009
IL N'Y A PAS COUPÉ
" INSTIT. Castrateur.
Une amende de 600 euros avec sursis a été requise hier en correctionnelle à Dijon, à l'encontre d'un instituteur qui avait menacé verbalement un élève de CM1 de lui "couper le zizi" en brandissant un cutter. " ("La Montagne" du 31 mars 2009) (illustration : traité du zizi coupé de son contexte studieux à la Cité des Sciences)
Voici un corps (les enseignants) qui craint pourtant beaucoup les coupes sombres. Mais si on le pousse à bout...
C'est vrai qu'à notre époque (il y a longtemps), l'instituteur ne sortait pas son cutter pour rester le maître. Il brandissait son Opinel.
P.S. : Voilà un fait anodin monté en épingle (aie !). Car l'élève était bien coupable : juste avant, le gamin venait de faire le guignol en montrant le bout menacé à tout le monde. On ferait mieux de s'occuper des vraies violences sur enfant. Voilà un procès au zizi plutôt con.
Question : nous sommes ici à l'école laïque et républicaine. Imaginez l'action à l'école rabbinique ou à l'école coranique. Bon, d'accord, vous pouvez couper ça. A bas la calotte !
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3 commentaires:
La fin du commentaire précédent pourrait être jugée, par certains, comme un tantinet exhibe bite sioniste ....
"Montre en main":
En arriver à de telles extrémités pour une histoire, d'exhibition précoce, qui n'a pas dû durer plus de deux secondes !
L'instituteur est condamné pour une image qu'il n'aurait pas du donner. Autrefois, la discipline était obtenue par le maître à grand coup de verge. Aujourd'hui, ce sont les élèves (enfin certains, les agitateurs) qui la brandissent.
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