Un condamné à mort a passé, mardi, deux heures dans une chambre d'exécution de l'Ohio, aux États-Unis, sans que l'équipe d'exécution ne parvienne à trouver une veine utilisable pour lui administrer l'injection mortelle. Le gouverneur de l'État a ordonné un sursis de sept jours. " ("La Montagne" du 17 septembre 2009) (illustration : Arme de lutte contre les vaisseaux fantômes...)
Voilà qui s'appelle quand même avoir de la veine. Une sacrée dose, même ! Quant au sursis, nous sommes tous dans ce cas, et sans décision du gouverneur... Il perce ici, c'est vrai, une forme d'humour assez piquante.
3 commentaires:
"Vaisseau gouverneur":
Il paraît que ce méridien d'acunpuncture gouverne la stabilité intérieure en cas de stress excessif .... Avouez que votre curiosité est piquée !
"A de veine que pourra":
L'équipe d'exécution n'a pas exploité le bon filon.
Le condamné a la peau dure, mais il a désormais brûlé tous ses vaisseaux.
"Nouvelle donne":
le condamné reste sur le carreau, pour une semaine, le temps que les as de pique reprennent du coeur à l'ouvrage.
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