Trois sans domicile fixe russes ont en partie consommé la chair d'une homme de 25 ans qu'ils avaient sauvagement tué. Ils ont ensuite vendu les restes à un marchand de kebabs, à 1400 km à l'est de Moscou. " ("La Montagne" du 14 Novembre 2009) (Illustration : du reste, on connait les dangers de la viande rouge !)
Il faut reconnaître que l'alcool ouvre l'appétit. Mais on peut penser qu'ils voyaient un peu plus clair quand ils ont négocié les abats. Nous sommes en tout cas particulièrement ravis que ce troc ait eu lieu à une telle distance à l'est de Moscou, et pas à l'ouest.
Cependant, je vais me priver de kebabs pendant un temps. Et même de saucisses.
Tout ça n'est pas très catholique : cette histoire est à prendre avec des pincettes et des frites bien chaudes, car pour colporter des histoires sur les kebabs, les gens ne sont pas en restes.
3 commentaires:
"SDF troïka":
Avant la perestroïka, on les aurait accusé d'avoir vendu une peau d'URSS après l'avoir tué ...
"Ni goût lâche ni Coffe":
Même Jean-Pierre n'aurait pas mangé de cette kebab là.
C'est pas de la m.... mais, sortant du feu, cela vous fout tout de même un coup !
"La langue, on vous la sert bleue ?":
L'offre arrivait à point nommé pour l'autre malade qui devait avoir la fièvre acheteuse !
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