" BOSSUS. Assassinés.
Les bossus d'une township de l'ouest du Ghana bénéficient d'une protection policière particulière depuis que deux d'entre eux ont été récemment assassinés et leur bosse prélevée sur leur cadavre. " ("La Montagne" du 30 juillet 2008) (illustration : j'espère qu'on piquera les vrais, les seuls coupables)
Je sais que c'est quand même chameau de rire à propos de ces malheureux bossus. Ils ont bon dos. Enfin, jusqu'à ce qu'on "prélève" leur gibbosité. Quel joli mot d'ailleurs, "prélever" donne presque un parfum de légalité à cet acte lâche. Lâche car on a fait ça dans leur dos.
Laissons la police bosser, maintenant.
samedi 2 août 2008
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2 commentaires:
Ces pauvres gens n'ont quand même pas rouler leur bosse jusqu'ici pour se la faire piquer ! Mais Que pensent-ils trouver dans leur bosse ?...mais rien, des os laids !
Il faut mater ces assassins qui, privant ces malheureux de leurs bosses, démâtent complètement ! D'ailleurs, si l'assassin ne se repent pas pour ce "prélèvement" de gibbosité, même gibet ôté, il risque d'être pendu.
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