samedi 12 juillet 2008

CRAQUANTE, LA ROBE !

" MAMMA MIA ! La robe de la mariée avait craqué.

Une jeune mariée italienne dont la robe avait craqué durant la cérémonie, la laissant demi-nue devant son futur mari et ses invités, a décidé de poursuivre le magasin qui lui avait vendu sa robe. Elle lui réclame 23.000 euros. Une petite consolation pour un mariage qui, en prime, était tombé à l'eau au bout de quelques semaines. " ("La Montagne" du 6 juillet 2008) (illustration : lorsque son cœur a craqué...)

En chair et en noce.
A cette saison encore proche de l'hiver, malgré l'absence de robe, elle se sera peut-être quand même mariée en blanc... Mais à poil, ça n'est pas coton !
Je ne sais que penser d'une telle fatalité, au vu de l'épilogue. Était-ce un bien, était-ce un mal ? Était-elle déjà grosse au moment de l'essayage (impure supposition !) ? Le marié voulait-il l'examiner sous toutes les coutures ? Sa beauté fut-elle sabotée ?
Il a peut-être manqué une répétition générale, ou même une couturière* qui aurait sûrement évité un tel coup de théâtre ?

* La couturière est (aussi) la dernière répétition avant la générale.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

"Pas assez d'essais ?":
La mariée a perdu la face. Les invités, venus en masse à cette messe, n'ont rien perdu de la fesse !