Un prêtre, qui a gagné quelques 100.000 dollars (70.000 euros) lors d'un tournoi de poker aux Etats-Unis, va verser ses gains au fonds mis en place par sa paroisse pour construire une nouvelle église. " ("La Montagne" du 27 décembre 2009) (Illustration : Soeur croupière ?)
Dans une salle de jeu, seul le silence me parait religieux. Le hasard et la nécessité ? La fin veut les moyens ? Un peu facile. Mais si c'est pour faire sauter la banque, alors cela devient plus chrétien. Pauvre Eglise !
3 commentaires:
"De nier n'eut servi à rien":
Il a dû avouer l'origine de ses gains.
En somme, il n'a fait qu'appliquer un vieil adage : "Mieux vaut s'adresser au jeu qu'à ses paroissiens !"
"Citrons pressés":
Comme c'est plus efficace que de presser les six troncs, la hiérarchie s'écrase.
Est-ce bien catholique ce péché de capital ? Quand un curé se fait une quinte, l'église doit tousser. Mais au fond de moi, le fait qu'un fervent défenseur de l'existence de Dieu soit aussi un expert du bluff me réjouit...
Enregistrer un commentaire