"LIECHTENSTEIN. Maîtres chanteurs "indemnisés".Une banque liechtensteinoise a "racheté", pour 9 millions d'euros, auprès de maîtres chanteurs, le nom de 1600 de ses clients qu'ils menançaient de transmettre aux autorités concernées. " ("La Montagne" du 2 mars 2008) (Illustration : nuage de fumée sur le point de crever )
Unclear stream.
Nom de noms, si j'étais riche, je ferais des listes pour devenir encore plus riche ! Mon Dieu que tout ça est immoral ! Je suis curieux de savoir qui sont ces autorités concernées, et surtout de quel pays. Le Lichtenstein ne me parait plus être le rocher des lumières. Au contraire, il va bien falloir lui jeter la pierre quand on aura fait la lumière : quand on prend les vessies pour des lanternes, on doit craindre les mauvais calculs et les terribles douleurs qui s'en suivent Outre-Rhin.
On pensait bien que les banquiers avaient besoin de se racheter !
3 commentaires:
Dans les rangs des fraudeurs, le pays est désormais appelé le Listenstein.
Du coup, ils se retourneront probablement vers la Chuiche, ou là où se camoufle le luxe en bourge.
"Maître Chanteur et le Banquier":
Maître Chanteur, dans un bureau caché,
Tenait en ses mains une liste.
Maître Banquier, par le fait effrayé,
Lui tint ces propos réalistes:
"Hé ! bonjour, Monsieur du Chanteur.
Que vous êtes malin! que vous me faites peur!
Sans mentir, si vous le pigiste
N'êtes vraiment pas un fumiste,
Vous êtes le Phénix du fisc concerné."
A ces mots le Chanteur reste un peu en retrait;
Et pour montrer sa belle liste,
Il ouvre un large sac, et montre ses papiers.
Le Banquier réfléchit, et dit : "Mon bon Monsieur,
Je retiens que tout tracker
Vit aux dépens de celui qui l'abrite :
Cette leçon vaut bien une liste, écrite. "
Le Banquier, honteux et confus,
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.
"Certains vont rire jaune":
le nom de 1600 de ses clients ....
Notez bien qu'il n'est pas dit qu'ils avaient racheté toute la liste !
Il y a les rachetés (les catégories 2 et 3 étoiles) et ces vendus de sales pauvres (une étoile)!
"pauvres" que le fisc des autres pays veut d'ailleurs bien compter parmi ses "riches" ...
Ceux-là seront invités à l'Hôtel des Impôts de leur pays respectif. En somme, une sorte de "guest a poor" fiscale.
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